j'ai nagé bien au fond et c'est à la surface que le mal remontait.
De toutes façons tout le monde s'en foutait. Si j'étais au fond brassant les ondes positives si j'étais à la surface respirant des remous qu'il fallait éviter.
Moi moins, car j'étais la concernée. Les uns faisaient un jeûne pour espérer des années longues, les autres bravaient l'été avec des légumes et autres plats modestes mais si réconfortants.
Enfin, chacun fait ce qu'il peut. C'est le meilleur des mondes.
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