Il suffit de s'attacher pour s'attendrir
sans limites s'attacher juste au niveau du coeur
essentiel à chacun
la tête a souvent l'esprit perverti
le coeur, physique et son âme
le regarder, sentir le battement
Il s'ouvre comme un livre une musique traverse
je sais qu'il y a en lui l'éternité d'une vie
qui restera plantée bien après l'oubli
Tant s'étaient fermés de par les habitudes, des regards bloqués sur la blessure
Tu devenais la colère je préfère la tristesse même plus grave
je préfère ne pas me sauver plutôt que l'amertume dont les autres ne peuvent rien.
L'amer bloque toute ouverture. La tristesse concerne notre feu. Il s'agit alors de regarder les braises.
De souffler doucement. Doucement reprendre l'endroit d'une flamme que tu pensais éteinte. De souffler doucement, de voir que ça rejaillit au-delà de ta demeure. De ton nid étoilé. L'univers porte un signal fort. Vivant, tout est encore possible.
Un enfant qui voit la guerre. Un fils qui doit quitter sa terre. Une femme qui perd
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