qui n'aimera jamais
fulgurance des mots
adressés dans le nulle part
des dieux
il est venu pleurer
sur mon coeur
qui ne lui appartient pas
et moi
toute à lui ouverte
que pouvais-je prêter
sinon toute la tendresse
de mon impuissance?
Que pouvais-je donner
puisque rien ne suffit
à la peine?
Me retrouve misérable
à moitié encore
dénudée.
Ce côté du Désir
quand le feu s'est éteint
et que l'amour est décidément
autre.
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