c'est le coeur qui bat plus fort c'est le sang qui coule davantage
le sillon au poignet enfle il devient large atteindra la péninsule et puis soudain
le large en plein les métaphores les couleurs sans rivages la puissance d'amour
le creusement des vertèbres qui ne peuvent rien tenir
Là! l'abysse monstrueux me donne son éclair: j'entends! oui quand je pense à la nuit, j'entends!
et le rêve s'écarte en mille forces vives en faiblesses accueillies
évanouie la tornade
oui cette musique traverse tous les âges et mon âme surtout
l'éternité d'un courage qui parcourt mon feu
qu'il ne soupçonnait plus
je sais nous sommes de passage et mon passage est fou
d'intensité, de profonde caresse
un feu de la métamorphose un feu qui nourrit sans calciner
à moins qu'il ne soit déjà si calciné qu'on ne sente que des cendres qui reviendront nouvelles
avec un nouveau ciel avec un nouveau corps
que sait-on de ce qui nous traverse?
Un clavecin a éclaté mon âme et je souris si fort
que je lève les yeux et je vois ceux qui aiment
et sûrement
nous donneront le courage
de voir que nous ne somme ni seuls ni ici
nous font traverser toutes nos déchirures
nous grandirons bien sûr
sans savoir si demain nous donnera ordures
ou plaisirs inouïs.
L' amour est un trajet. Je t'aime . Qui saura ce que ces mots nous disent. Je t'aime. si tu ne le crois pas, passe ton chemin j'ai tant à devenir.
Je t'aime et si tu n'écoute que toi tu considéreras le vocabulaire désuet.
C'est à toi de saisir de choisir de ne ne croire qu'en toi
justifier
argumenter
aligner les plus et les mauvais
l'amour est une caresse qui n'appartient qu'à nous
la caresse de nous
ou rien
la caresse et le feu
je ne dirai plus rien
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