26 oct. 2008
Pleine lune
L’homme caressa mon poignet funèbre : il le tordit jusqu’au déchirement . Une odieuse Joie me remplit. Et sans un cri de douleur, je sentis le feu m’envahir. Une bouffée de triomphe m’emporta et je murmurai sans mentir « tu es beau comme un porc » . Je me mis à genoux et croquai le bourreau. Il ne s’en étonna guère. Et s’assouvit sur moi. Ma tête électrique rigolait comme une folle. Barbare mon corps s’évanouit sans mot dire.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire