Les sans doute les peut-être
les faciles toujours, les on vieillira ensemble on fera le ménage et puis le coin du feu
L'été où s'éteint nos sourires nos images nos éclats dans le vent
l'été où s'éparpillent des rayons de soleil
nos sourires de la veille voilà l'orage a décomposé le paysage
il va falloir remettre le jardin en ordre
les fleurs sur le palier le pain pour les cochons
le fanes de notre coeur
la toison envolée et nous grêlons encore
Ce bois de tout l'hiver il faut le commencer
désormais c'est tout seul qu'on fera le marché
et puis les amis viendront et nous serons tout seul
à faire le ménage. L'heure tardive nous répond que l'été on peut revivre
alors que tout déjà recommence à mourir.
Il y avait tout à perdre. Nous avons tout perdu.
La vie reviendra, nous c'est moins sûrs car les âges avancent quoiqu'on essaie de dire.
Axe. Voilà, axe! C'est ce que je dis. Fixe toi la lumière et l'ombre en objectifs. Eux seuls donneront la forme de ce qu'on voulait dire.
Le miroir glorieux ne fait rien que rougir. Il se peut qu'on devienne un atome un éclair de la nuit une étoile filante
Il se peut et j'éclate de rire!
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