qu'un univers s'ouvre, une aurore insoupçonnable.
Le gris soudain prend le large, ne fonce pas forcément dans le bleu, le rose
je dirais que le gris s'approfondit il prend un ton inaudible à ceux qui n'écoutent pas.
Ne le peuvent pas.
L'univers surgissant en plein coeur je retrouve lumière, force, et ce désir
une vitalité qui n'existe que là, précisément, une force ou la rage
d'exister meilleure, juste comme le diapason qu'un orchestre trouve
quand le chef déclare qu'il est temps de s'offrir au temps qu'il nous reste
une rage prétentieuse d'aimer
de jouir de mots imprononcables
assyllabiques et neuves, idiotes comme un idiot fait quand cheminant
il trouve son chemin.
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