Il y aura eu ce qui a été.
L'été la maladie le courage
tu pensais que la distance nous rapprocherait
je ne t'aime plus mon Amour, mon coeur
J'ai sans le vouloir déchirer un contrat qui n'appartient qu'à toi
les hommes ne savent pas non et décidément
car oui décidément ne veulent pas savoir, comprendre, ou du moins essayer
quand nous,
nous voudrions croire et encore devenir avec lui avec toi
j'en ai fini
car à force
on comprend qui est l'autre qu'on désirait un autre
mais l'autre redevient ce qu'il est: un autre.
Alors je comprends: je ne changerai pas ce qui est immuable
ce qui reste figé
et moi je reste l'étonnée devant tant de couleurs que l'automne nous offre
mon automne
et je suis sans cet homme qui aurait pu aimer, m'aimer
que j'aurais dû aimer
s'en fout il s'en tape, il a tout: des amis, des contacts et des activités
tu sais, non tu ne sais rien. moi aussi je me fous. J'aime et c'est un absolu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire