Le grand n'importe quoi!

Alors là franchement on a atteint des sommets du dimanche d'intérêt nullissime, on pourrait dire que c'était l'acmé du Dimanche de merde,l'apothéose dans le genre "apocalypse-sunday" et je me suis d'ailleurs empressée de lui décerner la palme d'or du dimanche superlativement pourri-toutes années confondues.
un dimanche dont il n'est pas pléonasmique de dire qu'il fut gouffre d'inutilité, bref
à proprement parler:
un dimanche à chier.
D'abord, quand on se réveille si tard on devrait s'économiser le lever.
Parce qu'en 10heures, il faut le reconnaître on aura jamais le temps de tout faire.
Cependant, en ce qui concerne ce dimanche mémorable par sa vacuité intellectuelle, historique, évenementielle, et tout et tout,
ces petites dix heures ont encore eu loisir de me donner le temps de m'emmerder... comme si j'étais devant le Jour le plus long rediffusé en boucle....horrible....
undimanche de grand n'importe quoi
enfin ça fait plusieurs jours que c'est du grand n'importe quoi...`
cette vague sensation d' être soi-même , à l'origine de ce tout ce gâchis temporel me ferait pencher pour dieudonné aux prochaines Européennes, ou penser à relire Cicéron dans le texte sans Gaffiot.
Vivement Roland Garros, au moins ça changera de côté. Mais Cannes Cannes Cannes!!! Avec leur palmiers et la Croisette, y'a vraiment pas beaucoup de mouvements sauf sur le tapis rouge, mais j'ai toujours pas vu le ballon.
Ah ce putain de dimanche où tous les gens sont heureux au point d'écouter claude françois en cuisant les brochettes...