On cristallise et quand arrive le dégel,
on se retrouve à l'état animal.
Tout se déçoit.
Il ne faut plus lire les miracles.
Je marche dans la ville. L'avenir dispersé redonne un peu courage.
La rue traversée est une échéance.
Sur le trottoir d'en face, j'ai un peu réussi.
Mais il n'y a pas de victoire quand l'autre s'en mêle.
Jamais.
Nous sommes perdus d'avance.
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