Vouvoyez d'un baiser
cette chatte admirable
alors qu'à peine encore
à demi rencontrés
allongés nous y sommes
Vouvoyez-la encore
j'eus aimé une langue
mais elle n'est pas venue
cachée sous le soleil
(baiser des promenades, et se prendre la main)
puisque baiser n'est pas un baiser
Vouvoyez mon ami et je tuerai la rage
d'être déconvenue.
Nulle part on est ensemble à ce point désirable
Foutez-moi la paix propre aux pornographes
et l'enfer du visage
Il m'a croquée et non l'amour n'existe pas nous ne nous aimons
que pour écouter ce qui frôle obscur.
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