Encore une de passée
j'ai sauté la nuit comme une haie immense
une année pleine d'épines et les ruines à reconstruire
ne me font plus peur
je reprends les outils
Que me préservent des élastiques à l'odeur artificielle
je reprends les marteaux la pince et puis le grill
je reprends la corde pour "on ne sait jamais qu'un soir
je rêve de "m'accrocher"
et tous les matins je lève les yeux pour ne pas oublier
l'étendue d'aujourd'hui
Demain est pour toujours.
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