Sauf à ce qui te rend mort
Sauf à ceux qui t'empêchent
de mener la victoire et te disent à quoi bon
Le Diable soupire et prend ton souffle
Le Diable épuise celui qui lui donne son temps
et le vide
Les hommes sont des diables et je maudis leur long gémissement
leur plaine à rumeurs qui les pousse en haine dans la vie.
RECULEZ MÉCRÉANTS QUI ME NAVRENT
Reculez j'enrage et ne veux pas cette épidémie!
Reculez je suis la folle sans attaches
qui mords la Tristesse pour qu'elle n'approche pas!
Ouaf ouaf! j'aboie en forme de crucifix pour éloigner la Peur!
Ouaf Ouaf! Qu'on ne m'approche pas! je veux vivre sans croiser les doigts des terreurs!
OUAF et j'hurle et je danse macabre pour que la lune pleine
me transforme en navire
un grand et majestueux navire
ivre ivre
bouillant
comme le sang
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