la bourse est fantastique
nous sommes à son bord, je prends les manettes et sens les variations,
des pélicans nous regardent les yeux pleins de mazout,
leur odeur me rappelle une ascension sans cap
des boules à cent à l'heure nous frappent la poitrine
une canette se vide sur le ponton
Au loin les diamants demandent grâce
à des hommes sans tête.
-Volontiers je reprendrais la barre.
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