"- Tu es sale parce que tu ne vis pas éternellement. Tu ne crois plus à ce qui te fait devenir; je sais j'ai l'air d'être compliqué. Mais tu te trompes en baissant la tête. Tu te trompes, comment te dire mieux.
ça a l'air d'être moralisant ce que je te dis, là.
- non. J'entends. Tu parles d'une dégradation.
- oui. c'est un peu ça.
- je le sens, tu sais.
- ok"
Tu ne sais plus comment faire.
Tu cries, et puis tu le vois quand même que pas UN seul ne te considère. Je veux dire, dans le temps.
On te prend, on peut te dire des mots vrais, tout à fait vrais. Mais compte, recompte ceux qui ont passé le stade des "instants extraordinaires".
La vie n'est pas extraordinaire.
Tu l'es toi. On te la dit mille fois.
Mais la vie, elle, est très banale.
Elle se lève, mange, voit des amis, fait de la salsa,du yoga, voyage et va se coucher 8heures.
- Tu es sale, Claire, parce que tu es une bête.
Regarde cet instinct qui te fait sourire à tous ceux qui te sourient.
- Je le sais. Je travaille.
- je te souris.
- merci.
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