10 juin 2010
Deux filles à l'étage.
Elles ne se sont rien dit. L'une a ouvert sa porte. L'autre pleurait; elles se sont mises nues. Leurs seins se sont touchés. leurs cheveux emmêlés. Elles ont gémi et n'ont pas fait semblant. Leurs doigts ne connaissaient rien. C'était doux comme singulièrement mouillé. C'était doux comme si elles étaient seule. Chacune se découvrait. Il y avait de la mère dans l'instant. Il y avait du lait. Enfin elles pourraient tout connaître. Enfin elles sauraient leur faire croire sans avoir trop mal.
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