Abrutie, tout est déconcerté:
les murs, la forêt, le ciel pleut
résonance intérieure
les os sonne creux
une sombre histoire d'amour
Etranglée, le feu envahit la cervelle
et les extrémités féroces/
Crise angoissée.
Focaliser le trouble.
Sur un préau acide.
Mais les larmes vont venir.
et tous seront témoins.
Et cela est mauvais.
et cela est mauvais.
Les larmes qui sortent et bien qu'on les refuse.
On donne des nouvelles pour rassurer le vide.
Mais il n'y a que le vide.
Rien
dans le temps intérieur.
Gaver l'absence éternelle et spatiale.
J'ai mal dit: çA
ne résonne pas.
Tout est plein de béton.
Il n'y a plus de place.
ETOUFFÉ PAR LE VIDE TROP REMPLI DE
RIENS DE RIENS
Rassurez les âmes,
tout est bien
anguleusement froid
et bien.
La Haine atrophie le coeur de la pensée;
Les gens se catalysent pour un match de foot
et puis d'un coup
se crèvent
mauvais comme la peste
condamnent leur plaisir.
Citrique
tout se remémore.
Violacée il se coule
des pleurs qu'on a pas décidées.
Et la Haine se retourne
comme un couteau en soi.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire