Jamais vulgaire ne me fait rire. je lui préfère mon doux chien qui n'a jamais parlé.
Jamais la docte rumeur, indifférente à tous, ne pourra faire le poids face à ce qu'on doit aimer.
Jamais tu n'évapores le tourment de mon angoisse folle
A jamais résolue je le suis de m'ouvrir
à celui que j'estime, "il ne faut pas chercher" disent les vieux sonneurs, j'entends Dieu qui résonne
dans la tête à 6 ans, la date anniversaire ne s'est pas affichée. Faire semblant de s'endormir sur le canapé neuf pour être emportée dans les bras de son père jusqu'à la chambre haute. N'aimer que les bras victorieux qui portent tous les jours une coupe à leurs lèvres. Cumuler les regards comme autant de triomphes.
Gêné, tu ne l'es pas quand tes yeux me regardent? L'Autre m'emmêle, la pudeur fait trébucher les mots, rougie comme une flamme, le souffle s'amenuise
TOI tu es bête! bête et vulgaire!
L'Autre, c'est le loup!
Il ne se peut plus d'exister sans trembler, il pleut, le désir chaque fois ratatiné.
VOUS dont la voix de papier un jour me brisera. Je répondrai transparente. Rassurée, à nouveau toute bleue. Enfin bleue redevenue.
Vous saurez que tout nous appartient. La Lune , le vent seront témoins.
Jamais jamais jamais mon chien n'aura parlé et je l'aimais comme un fou
qu'on aime: sans pitié ni pudeur.
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