Dans la fièvre infossile je m écarte du ciel pour devenir délire alors il me faut revenir à la terre à son souffle aux forêts et dans l herbe mouillée de l orage il respire à nouveau, mon cœur indélébile. J ai cassé la porte de mon intérieur. Pour retourner la.peine comme on laboure le champ. Me fallait libérer la douleur d un jour pouvoir te perdre et tu t en foutras puisque tu seras mort et j ai mal j ai mal comme on n 'a jamais mal quand on ne connaît pas l amour. La peur d être sans toi la panique la terreur mais toi qui t en fous de ma peine inconsolable puisqu on ne console rien sans savoir que rien ne consolera rien
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