Désaveu tardif mais attendu
il y avait des voiles, des retours et de la couleur.
Cependant comme toujours aucune chair ne débilisait le tout.
Et surtout l'écran formatait le langage.
Il choisissait effets, gras dans l'image, toujours criant pleurant frappant. L'histoire était sans lien. Et ce qui m'étonna le plus ce fut la victoire musicale qu'il s'acharnait à incarcérer malgré le vide frigorifique de ses choix.
Comme je passe et qu'on efface puisque la vie efface.
Mon désir est si fou. Mon désir reprend comme ta voix dans la nuit.
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